Ballade avec Brassens 2024

Le comité de pilotage de Ballade avec Brassens lance un appel à tous les musiciens, en prévision de la 20e édition de l'événement qui aura lieu à Rennes du 4 au 8 septembre 2024.

Depuis sa première édition...

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JEUX DE VAGUES

La septième édition du festival Jeux de Vagues, dédié à la musique classique, vous donne rendez-vous cette semaine à Dinard, du 9 au 11 mai 2024.

Un festival thématique, pédagogique et didactique

L'édition 2024 de Jeux de Vagues rendra hommage à Judith Gautier, illustre Dinardaise, et célébrera le formidable accueil dont...

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Pass'âges du 28 novembre 2020 : Pascal Gallois

L'invité : Pascal Gallois, chef d'orchestre.

Chef d’orchestre reconnu à l’international, Pascal Gallois se partage entre Paris où il dirige le Conservatoire Mozart et Quiberon où il a créé Les Musicales, un festival de musique classique et contemporaine. Joli itinéraire pour un ch’ti, né dans un petit village du Nord, où il a débuté dans une simple harmonie municipale.

Très vite, il rejoint le Conservatoire de Tourcoing où, après le saxophone, il se met au basson. Puis il poursuit ses études à Paris, au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse. À 21 ans, il gagne le concours lui permettant de devenir membre de l’Ensemble Intercontemporain, dirigé par le célèbre Pierre Boulez.

Commence alors une brillante carrière internationale, à la fois comme enseignant à l’étranger et comme chef d’orchestre. En 2005, il devient Directeur du Conservatoire Mozart à Paris, où il se plaît à être un passeur entre publics et musiciens de tout style.

Convaincu que la musique est accessible à tous, il ne cesse de multiplier les actions et de prendre des initiatives : « On se doit de créer. Si on reste immobile, on meurt ». Cette façon de faire l’a conduit, voilà cinq ans, à créer Les Musicales de Quiberon, dont l’édition 2020 a pu se tenir à l’automne, juste avant le confinement : « C’était un peu plus compliqué, mais nous avons tenu. Les concerts ont eu lieu, quitte à ce que les chanteurs se produisent masqués ». Le ch’timi est devenu aussi têtu qu’un Breton.